Saeros, Ecole de Magie
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Saeros, Ecole de Magie

Bienvenue à Saeros, une école pas comme les autres, en effet vous y apprenez à maîtriser vos pouvoirs.
 
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 Méléna Espaë

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Méléna Espaë
Professeur de Magie Blanche | Directrice de Fëanor
Méléna Espaë


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Date d'inscription : 21/02/2008

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Particularité (Concerne les adultes): Vampire
Animal de compagnie: Un corbeau nommé Yáren
Citation: Le destin n'est que fatalité

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MessageSujet: Méléna Espaë   Méléna Espaë Icon_minitimeVen 22 Fév - 8:11

Nom : Espaë

Prénom : Méléna

Âge : 30 ans

Lieu de Résidence: Saeros

Famille : "Famille" ? Que voulez-vous qu'il soit possible de dire à propos d'une inexistante "famille" pour Méléna ? Elle est solitaire, et aussi loin qu'elle s'en souvienne, elle l'a toujours été. Ses parents lui on été arrachés avant même qu'elle ait le temps de ressentir des sentiments pour eux, peut-être est-ce pour cela qu'elle ne peut pas en ressentir pour quelqu'un d'autre à présent ? Rares sont ses proches, ou alors ils sont morts. En dehors de ses parents, Méléna n'a connu personne d'autres dans sa famille, peut-être avaient-ils tous été tués ? Elle ne pouvait le savoir, elle n'avait vu de ses yeux noirs que le meurtre de ses parents. La jeune femme n'a aucun souvenirs d'eux, à part leur mort, qui l'a marquée à vie, comme un fer rouge, brûlant, une cicatrice qu'elle porte, non pas au cœur -elle ne les aimait pas- mais dans l'âme. Mais sa solitude ne la laissait indifférente: pourquoi être triste de la perte de gens qu'on n'a pas eu le temps de connaitre ? C'était tout simplement pathétique... elle ne s'encombrait pas de ce genre de sentiment, tout comme la compassion, l'amour, qui ne servaient à rien, juste à passer le temps et s'occuper en attendant sa mort, notre amant à tous, qu'on attend plus ou moins patiemment, du haut de notre balcon, qu'elle nous fasse descendre et qu'on s'enfuit à jamais.
Sa solitude et son ombre était ses seules compagnes, elles étaient douces, ne le jugeaient ni ne la rejetaient... Sa solitude était humaine, l'homme, lui, a toujours été inhumain envers Méléna.


Physique : Imaginez-vous une longue rivière rousse, ardente, un torrent de cheveux flamboyants, ondulants sur le dos de Méléna jusqu'à son bassin. Des cheveux longs, brûlant d'une couleur sans égal, encadrant un visage pâle percé d'un regard noir et profond. Elle avait une peau si blanche qu'on eut cru qu'elle était morte. Ce n'était peut-être pas tout à fait faux... et vous le lirez plus tard, dans son histoire, mais en tout cas, ça n'était pas vrai non plus. Son regard... perçant, et froid, presque envoutant, mystérieux, semblait vous dévorait, et vous regarder à même l'âme, un regard dont on ne pouvait se détacher avec facilité. Fine et gracieuse, la jeune femme se déplace en gestes et pas gracieux et lents, une démarche qui aurait pu faire penser à une danse, une silhouette élancée et filiforme ondulant dans l'air, libre, paisible, enfin. Oui, elle était belle, innocemment, inconsciemment. Mais cette beauté radieuse est brisée par la tristesse des traits du visage de Méléna, un visage de cire qui semblait fixé sur cet air maussade, indifférent et boudeur. Des lèvres qui ne semblaient n'avoir jamais été étirées en un sourire, un visage de pierre, incompétent à prendre tout autre traits que ceux-ci, des traits de misère, de malheur, de déprime. Bien que très blanche de peau, Méléna dégage beaucoup de noircir, de mystères ensevelis, de part son regard, noir, mystérieux, son expression perpétuelle, et ses vêtements... on pourrait la décrire en quelqu'un mots: une beauté blanche hantée d'une bête noire. Comme maudite, portant son fardeau, il ne reste de la blancheur de ce qu'elle était que la couleur de sa peau, tout le reste à subit un déclin... ou a-t-elle été toujours ainsi ? Comme une chanson douce aux violentes paroles, Méléna, sa propre antithèse, une oxymore, s'opposant à elle même, fait son entrée à Saeros, l'école dont on dit qu'il y a tant de secrets et mystères.

Caractère : Méléna... comme un chant spirituel, vagabond dans l'air, libre, léger, sans aucune attaque sur terre, comme ses cheveux, ondulant au rythme de l'air, vivant en osmose avec elle même. Elle est, telle une rose encore fraîche de la rosée du matin, fragile, douce, mais épineuse, car même la plus belle des roses à de multiples épines, et son caractères calme et doux est piqué de son tempérament froid et distant. Comme un douce mélopée mélancolique, une nuit sans étoiles, Méléna, tristement rêveuse... Comme une forêt, immense, sauvage, parfois agressive, n'obéissant qu'à son intuition, ses instincts, ses sentiments, n'obéissant à aucune loi, ni aucune foie. Elle n'a pas beaucoup de conversation, car trouve pathétique de parler d'elle, puisque son histoire ne regarde qu'elle, et n'a pas envie d'en apprendre sur d'autres personnes... sauf si elle juge celles-ci dignes d'intérêt. Laissant planer sur elle l'atmosphère d'un mystère, un secret, l'air pesant d'un fardeau qu'il faut cacher. La froideur d'une femme sans destin, damnée par son passé. Tourmentée, ses pensées fusaient, sans qu'elle ne puisse en garder le contrôle, son esprit parfois lui échappe, sa raison s'envole, et seul la bête noire reste... une bête qui vit en elle depuis si longtemps, dévastatrice, vengeresse et agressive. Lunatique ?... non... elle refoulait plutôt ce qu'elle était, mais ce elle revient toujours au galop, violemment, impétueusement ! Sans qu'elle puisse y faire quoi que ce soit... Elle ne vit plus en harmonie avec sa nature qu'elle tient enfermée, pourtant... Une femme doucement violente. Schyzofrénie mélancolique. Le feu tempétueux de son âme brûle ardemment...


Histoire : Dès années de cela, en Aranel, s'unir deux êtres qui filaient un amour parfait, cristallin. Isaï Espaë, et la jeune et belle, mais non pas moins mystérieuse, Esperenza Espaë. Ils s'aimaient, depuis leur plus tendre enfance, un amour qui n'a cessé de devenir plus fort au fil des années qui s'écoulaient, des années heureuses, bien qu'une ombre fut dressée au tableau: le couple était en fuite.
Depuis des générations entières, Isaï Espaë était un chasseur de vampires, ces créatures qui étaient dévastatrices et sans foie ni loi à l'époque. Et il se trouvait que, depuis quelque temps, les vampires s'étaient emparé de la ville qu'habitait le jeune couple et qui deviendra plus tard une ville abandonnée, en ruine. Bien que maintenant les vampires, pour la plupart, soient plus civilisés, à cette époque, ils étaient des monstres redoutables, et la prise de la ville obligea les jeunes mariés à fuir, ils ne pouvaient rester et combattre: ils étaient seuls, les habitants de la ville s'étaient fait massacrés et Esperenza n'était alors pas au mieux de sa forme...
Isaï était grand, de taille comme de cœur. Il était juste, et imprégné de courage. C'était un homme fort, mais doux, très calme et sensible, aux cheveux d'un noir de jaie qui lui tombaient sur ses épaules carrées. Tandis qu'Esperenza elle, longue et svelte, une femme menue et animée comme par une flamme qui dansait en elle et l'allumait d'une énergie incroyable ! Elle avait de longs cheveux roux qui lui tombaient au milieu du dos, en une cascade flamboyante.
Ils s'étaient tout deux cachés à Aredhel, dans une petite Auberge vétuste. Là, ils passèrent le reste de leur vie. Esperenza y donna naissance à un magnifique bébé, une fille, qu'ils nommèrent Méléna. Elle avait les cheveux flamboyants de sa mère, le regard fort et profond de son père, la carrure physique aussi menue que celle de sa mère. La vie à trois commençait alors, doucement, sûrement. La vie leur était agréable, paisible et gaie. Seulement, un peu avant les trois ans de l'enfant, une horde de vampires retrouva la cachette d'Isaï et Esperenza, et s'y étaient rendus, lors d'une nuit d'été.
C'était une nuit sans étoiles, toutes les lumières étaient éteintes dans l'auberge endormie, seule les rayons de la lune filtraient au travers des fins rideaux blancs que portaient les fenêtres.
Tout c'était fait vite, et silencieusement.
Les vampires n'avaient pas forcés la porte, ils avaient usé de leur ingéniosité pour l'ouvrir de l'extérieur. Ils montèrent les escaliers, uns à uns, des bruissements discrets de capes annonçaient leur arrivée, des bruissements que personne n'avait pu entendre cette nuit là, personne, sauf le nourrisson qui attendait patiemment dans son berceau, inconscient du danger.
Comme déjà morts, Isaï et sa femme ne se réveillaient pas, pas même lorsque la porte de leur chambre s'ouvrit à la volée. Ce soir là, lorsqu'ils s'étaient endormis, sans doute ne pensaient-ils pas ne jamais pouvoir se réveiller.
Agressés par les crocs maudits des vampires et d'autres armes blanches, ils étaient maintenant dans un sommeil bien plus profond, endormis dans un lit de sang, se tenant encore la main dans un geste plein d'affection, le dernier qu'ils auront pu s'échanger.
Les vampires l'avaient vue, le fruit du péché d'Isaï et d'Esperenza... ce petit nourisson au sourire glacial, au teint blême, et aux yeux troublés de ce qu'il venait de voir.
Il ne fallait pas qu'un héritier, un autre chasseur reste en vie: il devait la tuer elle aussi, si jeune fut-elle. Ainsi, lentement, l'un d'eux planta ses crocs dans la tendre chair du bambin qui s'effondra mollement dans son berceau.
Elle allait mourir, tout comme ses parents, l'histoire était bouclée.

Du moins...


C'est ce qu'ils pensaient.



Mais, le lendemain, l'enfant ouvrit des yeux noirs, comme des abimes dans lesquels on pourrait tomber sans pouvoir s'en sortir. Et de petits crocs poussaient sous ses gencives... Les vampires n'y avaient pas pensé... normalement, lorsqu'un vampire mort quelqu'un, celui-ci meurt, ou est blessé gravement. Mais certains humains ont en eux un gêne qui peut les transformer en vampire si un vampire originel les mort, ce qui fut le cas de Méléna. Ses parents lui avait offert un collier, marqué de son prénom et de son nom, ce qui lui permettra plus tard de savoir qui elle était...

De braves gens avaient entendus des pleures venant de l'auberge, et y trouvèrent l'aubergiste, sa femme, et le couple qui y résidait, éteins à jamais.
Ces personnes recueillirent le bambin orphelin durant quelques temps, mais quand Méléna avait atteint un âge où elle commençait à avoir raison et conscience, vers sa septième année de vie, elle s'échappa, dégoutée des gens stupides qui l'élevait stupidement: elle s'élèverait toute seule.
Etrangement, très jeune, Méléna était douée de raisonnement et d'une attitude adulte et courageuse, bien que distante avec ses semblables humains.
Elle vivait de larcins et de chasse, elle vivait comme elle le pouvait. Bien qu'elle ne s'aima pas, ni n'aima la vie, elle voulait vivre, pour maîtriser le pouvoir flamboyant qui grondait en elle, et percer un mystère: qu'est-ce qui a longtemps effrayé le stupide couple qui l'a sauvée ? Elle le découvrirait, bientôt...

C'est dans la forêt qu'elle tentait d'améliorer sa magie, magie dont personne ne lui avait jamais parlé, pourtant en ce monde tout le monde en possédait, il était pathétique que certains étaient assez bête pour gâcher un tel talent.

Les années s'écoulaient, et son cycle de vie commençait peu à peu à s'inverser: elle dormait le jour, et vivait la nuit.
Progressivement, sa faim se creusait, et ce qu'elle mangeait d'habitude ne lui suffisait plus. Elle n'avait plus besoin de boire, ni de manger, il fallait autre chose... autre chose ! Mais quoi ?
C'est lors d'une de pleine lune, à bout de nerfs, emplie de ce manque, la jeune fille était devenue étrangement bestiale, ses yeux s'était injectés de sang, et sa pupille se contractait, ses crocs n'étaient plus ceux qu'elle avait lorsqu'elle était plus jeune, maintenant ils étaient bien là, longs, pointus, blancs et forts. Un instinct étrange la poussa durant toute la nuit, le feu de son âme ne dansait plus, il brûlait et envahissait dangereusement toute son âme, l'emplissait d'énergie, de rage, et de cet instinct animal étrange. Puis, le néant.

Le lendemain soir, sonnée, elle ouvrit lentement ses lourdes paupières. Elle ne se souvenait plus d'hier, c'était étrange, elle avait l'impression d'avoir dormis deux jours entiers. Lorsqu'elle se leva et regarda autour d'elle, elle vit une meute de loups morts et la terre encore écarlate du massacre qui avait du avoir lieu la veille.

Ce genre de scène se reproduit, de plus en plus souvent, mais peu à peu, Méléna put se souvenir de ce qu'elle avait fait, et il ne lui fallut que peu de temps pour comprendre ce qu'elle était: un monstre vampirique assoiffé de sang. Voilà ce dont avaient peur le couple de débiles qui l'avait accueillit ! Ils avaient sûrement dû remarqué ce qu'elle même n'avait pas encore vu: ses crocs. Du moins, elle savait qu'ils étaient là, mais à l'époque, elle pensait que c'était une chose commune à tout le monde... et elle se trompait lourdement. La réputation des vampires était très noire, une chance qu'elle avait fugué, que ce serait-il passé si elle avait massacré le couple pour calmé sa toute première soif vampirique, qui fut d'ailleurs son plus grand besoin de sang.

Avec le temps, elle contrôla ces pulsions bestiales qui devaient sûrement venir du grand manque de sang auquel elle n'avait pas répondu depuis longtemps. Mais elle devait continuer de s'en procurer pour ne pas refaire ce type de crises.


Quelques années s'écoulèrent, et le soir de ses onze années, lorsqu'elle se réveilla, un parchemin finement cacheter de cire était posé à ses côtés. Comment était-ce possible qu'on sache où elle était après des années sans nouvelles ? Les gens du village devaient pourtant la croire morte selon ses hypothèses, mais soit, elle pris le vieux parchemin doré, marqué d'une longue enluminure sur le côté gauche. L'enluminure était de quatre couleurs: du rouge, du vert, du blanc et bleu, et représentait quatre magnifiques femmes. La lettre parlait d'une école d'enseignement à la magie, Méléna n'hésita pas plus d'une seconde et s'embarqua dans l'aventure !

Cette école ne se trouvait pas par hasard, elle était cachée par un sortilège magique, seuls les élèves admis pouvaient passer la barrière et voir l'école, Méléna n'eut donc aucun mal à la trouver.

On la répartit à Fëanor pour son courage, sa vigueur, son tempérament flamboyant, brûlant, et cela lui convenait parfaitement puisque le feu était l'élément qui la fascinait le plus. Libre, dangereux, sans attache, sans personne qui puisse le maîtriser ou lui dicter ses actes... le feu et elle n'étaient qu'un.

Ses années d'études défilèrent, de façon monotone, elle avait beaucoup appris en cette école, et elle voulait en apprendre d'avantage, à commencé par son passé.
Elle s'était empressée d'aller poser des questions à la bibliothécaire de l'époque, férue de livres et d'actualité, peut-être en avait-elle entendu parlé ?

-Bien sûr ! Qui ne connaissait pas feu votre père ?

-Moi...


C'était un comble, son père était assez réputé dans la région, beaucoup le connaissait, des gens, des inconnus, le connaissait, mais elle, sa propre fille, ne savait rien de lui. Du moins, elle appris peu à peu ce qu'il c'était produit et compris que ce jour là elle n'était pas censée être engendrée, mais elle devait mourir comme ses parents.
Quoi qu'il en soit, les vampires étaient tout de même arrivés à leur fins: Méléna n'avait hérité d'aucune qualités de chasseuse, et étant vampire, elle ne comptait pas persécuter ses semblables.


Dernière édition par Méléna Espaë le Sam 23 Fév - 9:48, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Méléna Espaë   Méléna Espaë Icon_minitimeSam 23 Fév - 9:44

Les années s'écoulaient, dans la solitude. Bien que les élèves tentaient de l'aborder, elle reniait toutes conversations avec des êtres aussi insignifiants et stupides que de jeunes enfants qui n'avait pas connus la vie dur et difficile qu'on mène quand on n'est pas sous les jupons de sa mère. S'ils retournaient à l'état animal, ils ne sauraient se défendre et resteraient allaités par leur mère très longtemps alors qu'un louveteau, à leur âge, commence déjà à chasser seul. Ils bafouaient les règles animales et reniaient leurs instincts. Mais soit, tant pis pour eux. On ne devient pas fort en restant cacher, lachement.

Plus elle en apprenait sur ses parents, moins elle s'y intéressait, moins elle voulait en savoir... ils n'avaient rien d'exceptionnels, sa mère n'avait rien pour elle, hormis sa beauté, son père était fort, c'est un fait, mais stupide, et une stupidité que la force ne comble pas.


A l'école, elle était haïe de tous: la fille distante, froide, antipathique, et qui réussit tout sur tout. S'ils se donnaient au moins la peine de réussir eux aussi plutôt que de montrer les crocs face au fruit du travail acharné de Méléna. A défaut de perdre son temps en des discussions futiles, elle travaillait, tout le temps, pour réussir et devenir plus forte. La force physique et mentale étaient importantes pour elle, pour garder le contrôle de ce qu'elle était.
Les élèves la trouvait bizarre... ils n'avaient pas tord, mais qui étaient-ils pour juger ce qu'était la normalité et ce qu'était la bizarrerie ?
Il n'y avait alors que la directrice de sa maison qui ne la voyait pas comme quelqu'un de différent, d'étrange, de méchant. Mais Méléna se comporta tout de même avec sa directrice comme avec les autres élèves, froidement, mais avec beaucoup de respect et d'admiration envers cette personne, l'une des seules qui l'appréciait pour ce qu'elle était. La jeune fille finit même par ne plus être froide envers sa directrice de maison qui lui offrit un corbeau pour Noël... elle devait le savoir, cet animal n'était pas un hasard... ni le prénom de celui-ci: Yáren, Yár signifie 'sang' en elfique...
Bien qu'à l'époque la directrice de Fëanor n'était plus Fëanor elle même, celle qui avait le post, portait en elle le mystère, et la même grâce que la fondatrice... mais surtout... elle savait ! Elle savait ! C'était incroyable, Méléna, des années durant c'était cachée, même à l'école, il était impossible de la démasquer ou de la surprendre quand elle se nourrissait du sang des rats, elle le faisait la nuit, sous son lit. Le fait de la voir aller sous son lit tous les soirs n'avait alarmé personne, et personne n'osait aller voir ce qu'elle y faisait, elle aurait été capable de les tuer s'ils l'énervaient trop longtemps, et ils en étaient conscients...


Le temps s'écoula, sans qu'on ne puisse l'arrêter... comme de la fumée qui filtre entre vos doigts, le sable qui s'écoule dans un sablier, infiniment, paisiblement.
Et la jeune fille devint une jeune femme, elle poursuivit ses études afin de se perfectionner et postula pour devenir professeur de magie blanche et directrice de Fëanor. Elle constata alors, lors de sa candidature, qu'il y avait une nouvelle directrice à Saeros... Merope Neerin... une femme mystérieuse, digne d'intérêt qui accepta Méléna en tant que professeur et directrice.



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